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Ce que des études démontrent sur les AGPI, mais dont on ne vous parle pas !

 

Durant ces soixante dernières années, notre consommation d’acides gras saturés a largement diminué au profit des polyinsaturés.

Pourtant, nous sommes la génération la plus confrontée à des problèmes de diabète, de surpoids, d’obésité et d’accident cardiovasculaires. Que doit-on penser de ces recommandations ? 

Oméga 3, Oméga 6 : les acides gras insaturé (AGPi) cest quoi ?

Même si vous n’aimez pas la chimie, il est important de passer par là pour comprendre la suite…

Un acide gras est insaturé lorsqu’il possède une ou plusieurs doubles liaisons entre deux atomes de carbones.

Ces fameuses double liaisons changent la structure des graisses. Elles rendent les graisses instables et plus réactives face à différentes « agressions » extérieures.

Les Oméga-6 et oméga-3 font tous deux parties de la famille des AGPI (plusieurs double liaisons). Le chiffre indique simplement la position de la première double liaison sur la chaîne de carbone.  Ce sont ces AGPI que les nutritionnistes qualifient d’essentiels pour le bon fonctionnement de notre métabolisme. 

Huile d'Olive dans une bouteille en verre
Crédit : Roberta Sauge – Unsplash

Cet aspect essentiel des AGPI nous paraît discutable, d’autant que le lait maternel, seul aliment conçu uniquement pour l’être humain (au début de sa vie), est principalement constitué d’acides gras saturés. 

Les AGPI, pas si essentiels que ça

Un article rédigé par le Nutritionniste Rémi Masson donne de nombreux détails sur la chronologie de l’aspect essentiel des oméga 6 et 3. 

Sans rentrer dans ces détails Rémi Masson, mentionne les études des chercheurs George et Mildred Burr effectuées dans les années 30. Ces derniers pensaient avoir découvert des graisses essentielles au fonctionnement normal de l’organisme. Il effectuèrent des expériences sur des rats. Ces tests menèrent à la théorie du caractère essentiel des oméga 6. 

Seulement, à cette époque, la vitamine B navait pas encore été découverte. Peu après cette étude, le Clayton Foundation Biochemical Institute prouva finalement que la seule chose que l’étude apportait était que la « maladie de BURR » n’était quune déficience en vitamine B6.

Comment ?

Dans le cas des rats, les AGPi furent responsables d’un ralentissement de leur santé métabolique, ce qui leur permis de survivre avec moins de nutriments. A contrario, les rats non nourris aux AGPi démontrèrent une meilleure santé métabolique et une demande plus importante en vitamine B.

C’est donc à cette époque que débutèrent les recommandations de consommer suffisamment d’oméga 6. On les recommanda autant que l’on recommande aujourd’hui de consommer un maximum d’oméga 3. Puis plus-tard, il fut démontré de nouveau que la « carence » en oméga 6 pouvait être réglée par un apport suffisant en vitamine B6. Pas si essentiel que ça finalement, surtout quand on sait que ces derniers sont pro-inflammatoires (favorisent les inflammations).

Cet aspect « essentiel » des AGPI est étrangement apparu au moment où la possibilité de recycler certains déchets industriels devenait possible.

Selon Raymond Peat, les huiles de poisson ont été fortement utilisées pendant des centaines d’années à des fins industrielles (vernis, lampes, etc.), ces huiles ont été remplacées par la suite, par des dérivés du pétrole moins coûteuses, dans les années 60. 

À cette époque, même si la consommation de graisses insaturées était connue pour accélérer la formation de lipofuscine également appelé « taches de vieillesses », de nombreux effets « bénéfiques » ont commencé à apparaître dans les recherches et journaux scientifiques.

Où sont les preuves tangibles ? 

L’effet bénéfique des AGPI est rarement remis en question. Il est indiqué partout que les oméga 3 aident à lutter contre les maladies inflammatoires. Ils ont un effet efficace à court terme via une action sur l’immunosuppression (diminue lactivité du système immunitaire). Cependant, est-ce une solution à long terme de diminuer la réponse à un problème en diminuant la propre capacité de lorganisme à se défendre face à ce problème ?

On commence donc à comprendre que les AGPI nont pas que des effets bénéfiques. Les effets négatifs des oméga 3 sont généralement documentés dans la littérature scientifique. Ces études suggèrent souvent au premier abord l’effet bénéfique des oméga 3 en affirmant qu’ils sont essentiels et doivent donc être apportés par la nourriture. Mais elles n’oublient pas non plus de souligner un certain nombre d’effets négatifs.

Ce que des études démontrent sur les AGPI, mais dont on ne vous parle pas 

– Les AGPi favorisent la formation des isoprostanes et des neuroprostanes induisant le stress oxydatif dans les maladies neurodégénératives.

– Les oméga-3 semblent augmenter la production d’oxyde nitrique, qui accélère le vieillissement.

– Il existe un risque d’augmentation d’allergie immédiate chez les enfants allaités lorsque la mère consomme des oméga-3.

– Les oméga-3 augmentent la présence de l’acroléine, métabolite de la peroxydation lipidique impliqué dans la maladie d’Alzheimer.

– Les oméga-3 réduisent le métabolisme des glucides de 26%. La supplémentation en huile de poisson diminue la stimulation du flux de glucose plasmatique pendant l’effort. 

– Les oméga-3 empiètent sur la sensibilité à l’insuline.

– Les acides gras EPA (oméga-3) sont toxiques au niveau de l’activité des cellules du thymus, en empêchant de désactiver le cortisol (hormone du stress).

  • Les oméga-6 empiètent sur la fonction thyroïdienne

Les besoins en AGPI, largement surestimés

Nos besoins en AGPi sont très probablement surévalués à l’heure actuelle. La consommation de deux jaunes d’œuf et quelques millilitres d’huile d’olive par jour devrait largement suffire à les couvrir.

Deux oeufs au plat
Crédit Laura Lauch – Unsplash

Si vous n’êtes pas convaincu, ce qui est compréhensible étant donné que ce sujet est soumis à controverse, la consommation de poisson gras, une à deux fois par semaine (sardine, maquereau) devrait amplement suffire à couvrir les recommandations officielles. 

Sardines
crédit Alex Teixeira – Unsplash

Évitez de vous diriger vers les huiles végétales instables, à l’exception de l’huile d’olive et de l’huile de coco.

Huile de coco sur une table, avec noix de coco coupée en deux et un bol de noix de coco râpée
Crédit Ttijana-drndarski – Unsplash

Bien évidemment, ceci nest pas un conseil médical, ni une prescription. Si vous êtes atteint dune pathologie particulière suivez les conseils des professionnels qui vous encadrent. 

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